La radio qui se parle, la radio qui se vit, la radio qui forme une famille ! Retrouvez HTP Quartier, des émissions qui concerne le cadre de vie de HTP ! On y retrouve des émissions mensuelles, des interviews des talents de HTP, des déambulations et micros ouverts, permettant d’interroger la vie de quartier & notre cadre de vie quotidien en particulier mais aussi de donner des point de vue sur la société en général.
Et si HTP Radio interrogeait les cultures? Et si HTP Radio interrogeait l’urbanisme? Et si HTP Radio interrogeait le travail ? Et si HTP Radio interrogeait notre avenir?
« Bonjour, je suis Lassana Djimera, je fais ce podcast une fois par mois. Celui-ci a commencé en avril 2022, début du printemps. Je souhaite qu’il soit le printemps de l’éclosion des idées de progrès, dans notre France chérie. Il s’appelle la tribune du jumeau parce que je suis un jumeau. Je dédie cette série de podcast à toute les jumelles et tous les jumeaux du monde, afin qu’ils s’engagent partout où iels sont. »
Lassana, habitant d’Hautepierre, et Louis, coordinateur d’HTP radio,
échangent sur leur expérience de jumeau. Prétexte pour parler d’où l’on
vient, de notre rapport à la fraternité, aux mystères de la naissance,
aux racines mythiques du jumeau.
Monsieur Lassana DJIMERA, responsable de la chronique du jumeauMonsieur Lassana DJIMERA, responsable de la chronique du jumeau
« Bonjour, je suis Lassana Djimera, je fais ce podcast une fois par mois. Celui-ci a commencé en avril 2022, début du printemps. Je souhaite qu’il soit le printemps de l’éclosion des idées de progrès, dans notre France chérie. Il s’appelle la tribune du jumeau parce que je suis un jumeau. Je dédie cette série de podcast à toute les jumelles et tous les jumeaux du monde, afin qu’ils s’engagent partout où iels sont. »
Lassana, habitant d’Hautepierre, et Louis, coordinateur d’HTP radio, échangent sur leur expérience de jumeau. Prétexte pour parler d’où l’on vient, de notre rapport à la fraternité, aux mystères de la naissance, aux racines mythiques du jumeau.
Monsieur Lassana DJIMERA, responsable de la chronique du jumeau
Monsieur Lassana DJIMERA, responsable de la chronique du jumeau
Définition: la chienneté est un terme utilisé par Nasdas pour décrire son quotidien, son environnement, sa vie.
On écoute dans cet épisode Mohamed nous parler du snapchateur Nasdas. Véritable Robin des bois contemporain, Nasdas met à disposition de ses followeur.euses une carte bleue avec 100 000 euros dessus, pour que tout un chacun se fasse plaisir, ou pour aider les personnes dans le besoin. Mohamed raconte, avec émoi, comment il s’est fait plaisir, ainsi que la gratitude empreinte de fascination qu’il ressent pour Nasdas.
À l’issue de 3 mois de stage à Horizome dans le cadre de sa deuxième année de master professionnel, Julie réalise le podcast Mensonges et préjugés pour HTP radio. Quatre jeunes adultes en colère contre les discours caricaturaux qui fantasment leurs réalités se confient au micro – toujours attentif – de Julie.
Peu importe l’âge ou le milieu social d’appartenance, les images véhiculées par les médias mainstream font des « jeunes » une catégorie corvéable à merci. Alors qu’il est si commun de les décrire de façon condescendante, Julie décide de nager à contre-courant, pour leur donner la parole.
Après avoir grandi à Hautepierre, Derya Gulec-Kocak, 38 ans, reprend ses études en fac de sociologie. Elle n’y trouve pas son compte, et change d’orientation pour une license 3 en communication – médias à l’université de Montpellier. De retour sur ses terres d’enfance, elle se livre à HTP radio pour évoquer son parcours, ses doutes, mais aussi son courage, sa détermination.
le lieu de l’interview, en coeur de maille, petite butte, quartier de HTP
Croyance limitante ou croyance militante ? Ce qui nous limite peut un jour devenir ce contre quoi on milite. Dans ce podcast, une ancienne habitante d’Hautepierre nous dresse un tableau de son parcours remarquable. La persévérance, la rage, sont les clés de sa force, de son indéniable capacité à agir et à se remettre en question, à croire en ses rêves.
J’avais dès cette époque le projet de m’orienter vers des études de journalisme. Cependant la vie (ou peut-être ma confiance en moi) ne m’a pas permis d’aller au-delà de mes pensées limitantes. Car malgré mon envie très forte je ne pouvais pas m’empêcher de me croire illégitime pour cette profession. Je ne connaissais ni ce milieu ni la façon d’y accéder. En effet dans mon entourage proche je ne connaissais personne de ce milieu et encore moins dans les études universitaires.
Alors le doux rêve d’intégrer un jour ce métier me paraissait difficile.
Comme tout le monde j’ai vécu des moments d’incertitudes mais j’ai réussi à garder espoir. Je m’accroche à ce projet qui va me permettre d’agir positivement et de mettre modestement, ma pierre à l’édifice, pour la construction d’un monde meilleur.
Merci à Monsieur Léonard, pour avoir donné son accord à ce stage et ainsi de m’avoir offert l’opportunité d’affiner mon projet professionnel. Merci à Louis pour son accueil chaleureux, son engagement auprès des habitants et sa bienveillance. Selon Paul Valery « Un enseignement qui n’enseigne pas à se poser des questions est mauvais ». A moi d’enseigner à se poser les bonnes questions.
Derya Gulec-Kocak / extrait du rapport de stage effectué à HTP radio
Monsieur Lassana DJIMERA, responsable de la chronique du jumeau
Monsieur Lassana DJIMERA, responsable de la chronique du jumeau
« Bonjour, je suis Lassana Djimera, je fais ce podcast une fois par mois. Celui-ci commence en avril 2022, début du printemps. Je souhaite qu’il soit le printemps de l’éclosion des idées de progrès, dans notre France chérie. J’ai choisi ce titre parce que je suis un jumeau. Je dédie cette série de podcast à toutes les jumelles et tous les jumeaux du monde, afin qu’ils s’engagent partout où iels sont. »
Il n’y a que les bonnes volontés qui font le bénévolat !
Lassana Djimera
Dans ce podcast, on va parler de la jeunesse et de la vieillesse. Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait !
La musique de la chronique !Bienvenue dans la constellation des jumeaux !
Pendant mon service civique au sein du collectif HORIZOME j’ai voulu laisser la parole aux habitants, habitantes d’un quartier populaire de la ville s’exprimer sur une thématique qui me semble intéressante, je leur laisse le choix de me raconter ce qu’iels pensent afin que je puisse mieux comprendre moi-même leur vision de la poésie et de son évolution .
La collaboration Glaive x HTP Radio avait été teasée. Elle est maintenant disponible ! Glaive Media et HTP Radio annoncent la signature d’une nouvelle collaboration autour de reportages sur le quartier d’Hautepierre. Glaive et HTP Radio s’enrichissent de leurs savoirs mutuels de l’image et du son pour pour partager avec le plus grand nombre une expérience unique. Ce partenariat consiste à élargir l’offre audio-visuelle en doublant le volume de productions communes au 2 structures, en diffusant largement l’activité de Glaive Media sur Youtube puis en le publiant dans les canaux d’HTP Radio. Enfin, pour soutenir les habitants du quartier de Hautepierre, Glaive et HTP radio souhaitent plus que jamais réaffirmer leur soutien aux habitants de Hautepierre et leur volonté de rendre accessible le droit de parole au plus grand nombre.
Akram Hamidi est un kickboxeur français et Nak Muay, originaire d’Hautepierre. Il est l’actuel champion ISKA World K-1 Flyweight, WBC Muaythai International Bantamweight champion et WKN European Bantamweight champion. Il est l’ancien champion des poids coq de l’AFMT. [Source : Wikipedia]
On écoute dans cet entretien Zaï Mo, artiste jardinier, Mathilde Manier, designeuse graphique, Louis Moreau-Ávila, coordinateur d’HTP radio et artiste, toustes trois membres du collectif Horizome dont le but est d’orchestrer la capacitation, l’empuissancement, le renforcement, bref, de donner voix et force aux habitant.es du quartier d’Hautepierre, Strasbourg ! C’est le 16/18 de Pierre Liermann sur RBS, où on parle des multiples actions et modes de fonctionnement du collectif. Un grand merci à Pierre pour la conduite de l’entretien et l’invitation. Un big up à Khalil de La Ruche, studio d’enregistrement d’Horizome, qui n’a pas pu se joindre à l’interview.
Dimanche 3 octobre, le collectif Horizome organisait avec la Cie Théâtre-Forum Arc En Ciel, une agora publique autour des initiatives jardinières de Hautepierre, dans le cadre des Journées de l’architecture 2021. HTP radio était présent pour garder trace de ce moment de partage, de respect et de renforcement entre jardiniers, jardinières, élu et technicienne de la collectivité.
À l’écoute, le chapitre 2 autour des pratiques d’écologie populaire :
« Jardiner au pied de son immeuble », Camille Landru
Comme l’a ainsi montré la sociologue Laurence Granchamp après deux années passées à nos côtés, les jardins de Hautepierre sont des lieux de vie à ciel ouvert et accessible à tous les habitants, de ce fait ils offrent la possibilité de s’investir au sein d’un groupe tout en devenant acteur de sa propre consommation alimentaire.
C’est aussi de cette manière qu’ils permettent de transformer l’espace public résidentiel en terrain fertile, que ce soit concrètement au travers des plantations ou philosophiquement, en tant qu’inspiration d’une société plus juste et plus équitable, prenant ainsi en considération les pouvoirs d’action dans un quartier populaire…
Néanmoins, il est utile de rappeler ici que Hautepierre en tant que « Quartier Prioritaire de la Ville » (QPV), dénominatif institutionnalisé, est également depuis 2021, ce que l’État nomme « Quartier de Reconquête Républicaine » (QRR), où usages sécuritaires et contrôle du quartier vont de pair avec rénovation urbaine et participation habitante. La vie des jardins de Hautepierre en est un exemple concret. Comme ont pu le montrer Vincent Lebrou, chercheur en sciences politiques et Romane Joly, doctorante en sociologie dans le cadre d’une enquête ethnographique menée à Hautepierre entre 2016 et 2019 qui :
« met en lumière le caractère disciplinaire conféré aux jardins partagés lorsqu’ils se rattachent à la politique de la ville et s’articulent à un projet de rénovation urbaine. Notre article montre ainsi que ces espaces participent […] au gouvernement des conduites des habitants en œuvrant sur trois niveaux principaux.
-Spatial d’abord, lorsque la végétalisation et l’ordonnancement du quartier sont mis au service de la tranquillité publique.
-Ensuite, en dédiant certains espaces au jardinage, il s’agit de définir des comportements qui y sont autorisés et de reléguer les populations jugées « déviantes » qui ne s’y conformeraient pas.
-Enfin, l’exhortation municipale, sous peine de sanction, à formaliser l’action collective des jardiniers, ici en se constituant en association, participe à imposer des comportements dont la dissonance avec les ressources dont disposent certains habitants menace d’exclusion les plus démunis et les moins acquis au projet. »
Pour aller plus loin et lire leur analyse : Romane Joly et Vincent Lebrou, « Des jardins pour maintenir l’ordre ? Enquête ethnographique dans un quartier populaire strasbourgeois », Carnets de géographes [En ligne], 15 | 2021, mis en ligne le 30 avril 2021, consulté le 30 novembre 2021. URL : http://journals.openedition.org/cdg/7610